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Nous pouvons tous nous provoquer une émotion (se faire peur) pour la libérer. Avec une pensée particulière : peur de l’avion, de parler en public, phobie ou autres, une émotion se manifeste, même si elle est infime. Cela suffit pour cette exercice.

Pour faire une session à froid, veille à avoir pratiqué à chaud (en direct donc). Tu vas faire défiler dans ta tête la situation qui te stresse. Sans vouloir la ressentir comme en direct. Cela doit durer quelques secondes. Puis procéder comme la session à chaud. Analyser comment le corps réagit. Au bout de quelques minutes et si tu sens que le corps se détend,  refais défiler ce film et regarde à nouveau comment ton corps réagit. Le but est vérifier que ton corps ne réagit plus et ne stress plus à l’idée de celui-ci.

 

Connecte-toi à ta problématique

(et observe l’agitation du corps à l’instant T)

  • Si c’est une personne qui pose problème (un collègue avec qui on ne s’entend pas par exemple)
  • un événement futur qui te stress (la date d’un examen)
  • une situation causant la peur, le malaise ou le stress
  • le souvenir de la perte d’un proche
  • le moment vécu qui réveille la panique ou le stress
  • la peur de la route
  • la peur de son patron
  • le conflit avec ton conjoint(e)

Pense juste à ce qui ne va pas. Pas besoin de trop réfléchir et pas besoin d’essayer de trouver une solution. Remémore-toi des situations et observe ce que tu ressens physiquement dans le corps ( jambes, bras, dos, ventre, poitrine, le visage) et:

  • Localiser la ou les sensations inhabituelles dans son corps.
  • Laisser faire et se laisser imprégner par la sensation, sans lutter, sans la rejeter. Même si c’est désagréable. C’est l’idée de se laisser totalement embarqué dans une sensation qui nous dépasse. Laisse là être plus forte que toi !
  • Prendre le temps. Repenses-y si besoin à ce qui ne va pas dans ta vie, jusqu’à que la sensation bouge. Ca peut prendre plusieurs minutes voir même plusieurs séances.
  • Je t’invite à envoyer de l’amour à cette ou ces sensations à la façon ho’oponopono (voir page dédiée) : « Pardon, désolé, merci, je t’aime » (à répéter plusieurs fois doucement en focalisant sur la sensation) Fais lui un gros câlin intérieur même si ça fait mal. 
  • Chaque sensation que tu sentiras correspond à des parts de toi blessée. Elles ont besoins que tu les accueilles et les rassures

Refais l’exercice autant de fois que nécessaire. Ne te fatigue pas à vouloir tout libérer d’un coup. Parfois il faut plusieurs séances. Ne serait-ce déjà que pour bien comprendre comment ça marche.